Je publie ce message pour inciter chacun à réfléchir sur l’importance de ne pas rester passif face à un pouvoir qui s’accroche à tout prix à ses prérogatives, et pour montrer que la mendicité politique nuit gravement à l’essor d’une civilisation prospère.
On entend trop souvent que Paul Biya serait « l’élu de Dieu », comme si son règne était une bénédiction infaillible. Pourtant, gouverner ne relève pas d’un droit divin, mais d’un contrat social entre un leader et ses citoyens. Après plus de 40 ans au pouvoir, le Cameroun subit les conséquences : chômage massif, système éducatif en déclin, secteur de la santé en crise et corruption rampante. Ce n’est pas une faveur divine, mais bien le résultat d’une gouvernance défaillante.
Utiliser les textes sacrés pour justifier une présidence interminable est une manipulation cynique qui vise à étouffer toute critique. Quand on rabaisse ceux qui réclament du changement en les traitant de « vendeurs d’illusions » ou de « sorciers », on nie la vitalité et l’espoir d’un peuple fatigué de voir le même visage monopoliser le pouvoir.
Présenter la longévité d’un dirigeant comme un gage de stabilité est trompeur. En réalité, ces décennies de règne se traduisent par l’immobilisme, l’absence d’innovation et le refus de laisser place à une nouvelle génération de leaders capables de porter les aspirations de la jeunesse et de l’ensemble du Cameroun.
Le véritable pouvoir appartient au peuple. Il est temps de refuser la mendicité politique, de se libérer de l’illusion d’un leader providentiel et d’exiger des élections libres, transparentes et équitables. Ensemble, réclamons un changement responsable et bâtissons un avenir où l’alternance et la diversité des idées seront les piliers d’une civilisation réellement prospère.
On entend trop souvent que Paul Biya serait « l’élu de Dieu », comme si son règne était une bénédiction infaillible. Pourtant, gouverner ne relève pas d’un droit divin, mais d’un contrat social entre un leader et ses citoyens. Après plus de 40 ans au pouvoir, le Cameroun subit les conséquences : chômage massif, système éducatif en déclin, secteur de la santé en crise et corruption rampante. Ce n’est pas une faveur divine, mais bien le résultat d’une gouvernance défaillante.
Utiliser les textes sacrés pour justifier une présidence interminable est une manipulation cynique qui vise à étouffer toute critique. Quand on rabaisse ceux qui réclament du changement en les traitant de « vendeurs d’illusions » ou de « sorciers », on nie la vitalité et l’espoir d’un peuple fatigué de voir le même visage monopoliser le pouvoir.
Présenter la longévité d’un dirigeant comme un gage de stabilité est trompeur. En réalité, ces décennies de règne se traduisent par l’immobilisme, l’absence d’innovation et le refus de laisser place à une nouvelle génération de leaders capables de porter les aspirations de la jeunesse et de l’ensemble du Cameroun.
Le véritable pouvoir appartient au peuple. Il est temps de refuser la mendicité politique, de se libérer de l’illusion d’un leader providentiel et d’exiger des élections libres, transparentes et équitables. Ensemble, réclamons un changement responsable et bâtissons un avenir où l’alternance et la diversité des idées seront les piliers d’une civilisation réellement prospère.
25 days ago